ORKESTRONIKA
Depuis sa création en novembre 2010 par le musicien Patrick Fradet, le groupe ORKESTRONIKA développe ses territoires d’expérimentations sonores à travers la pluralité des musiques actuelles et l’utilisation des nouvelles technologies. Au cœur du processus de création, la thématique du « croisement » donne des directions d’élaboration qui s’orientent à ce jour vers deux axes principaux : Arts et Société et Arts et Sciences.
Selon les créations, de nombreux artistes (musiciens, DJ, auteurs, comédiens, vidéastes, roboticien, metteur en scène…) participent à créer de nouveaux territoires sonores et visuels au travers d’un instrumentariumconstitué d’une lutherie tout autant acoustique, électrique qu’électronique. Loin de tout cloisonnement, ORKESTRONIKA s’intéresse aux formes longues, au rôle de la voix, aux accords non tempérés, aux phénomènes acoustiques et électroniques. ORKESTRONIKA révèle la force d’une expérience humaine et artistique, recherchant un autre rapport scénique, au cœur des mutations de notre époque.
2011 / 2014
Première Création le 16 octobre en 2011 à Anis Gras (Arcueil) et re-création le 14 septembre au festival GogolFest (Kiev)
Qu’est ce que résister?
Orkestronika appelle à la résistance par le Faire Ensemble. Inspiré de l’héritage du Feuillet d’Hypnos de René Char et celui de Héros-Limite de Gherasim Luca la pièce Résist(r)ance propose une musique plurielle mêlant l’électronique, l’acoustique; le composé, l’improvisé; le chant, l’écrit ;la création, le patrimoine; le connu et l’inconnu.
2017
Création le 16 juin au Théâtre de Chevilly -Larue André Malraux
Exploration de trente années de culture contestataire dans les musiques amplifiées.
Dans cette nouvelle création, Orkestronika poursuit sa quête de sons et de sens entamée depuis la création « Résist(r)ance », par un concert qui rend hommage aux cultures « underground » festives et rebelles.
2013 / 2017
Création le 25 novembre à 20h30 au Théâtre Jacques Carat – 94230 Cachan
Une coproduction Théâtre de Cachan, Sons d’hiver et Ascenic
Dans cet instrumentarium inédit les « Robobjets » prennent tour à tour la parole.
Ils nous racontent et se racontent, créant une « prosopopée » d’où émerge une musique qui plonge l’auditeur dans un environnement fait de fusion de timbres, de micro-textures électroniques, de sons tour à tour méditatifs, purs, sales, saturés, impulsifs, provoquant une mutation des sens et des sons, donnant naissance à une musique faite de groove, de lyrisme électronique en perpétuelle mutation.